46e Session annuelle - Réunion du Réseau des jeunes parlementaires

46e Session annuelle - Réunion du Réseau des jeunes parlementaires

A / A / A
Nombre de participants
+ 50
Nombre de sections de l'APF
29
Réseau des jeunes parlementaires

Le Réseau des jeunes parlementaires de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) s’est réuni en marge de la 46e Session annuelle de l’APF, le 21 janvier 2021, par visioconférence, sous la présidence de la députée Amanda Simard (Ontario).
 

46e Session annuelle

Après plusieurs mois d’inactivité en raison de la situation sanitaire, plus d’une cinquantaine de participants en provenance des cinq continents ont répondu présents à l’appel de la Présidente du Réseau. Au total, 29 sections de l’APF étaient représentées lors de cette réunion (Andorre, Arménie, Belgique/Communauté française/Wallonie-Bruxelles, Bénin, Cambodge, Canada, République centrafricaine, Comores, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Luxembourg, République de Macédoine du Nord, Madagascar, Maroc, Maurice, Monaco, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Calédonie, Ontario, Polynésie française, Québec, Roumanie, Rwanda, Sénégal, Suisse, Tunisie, Vallée d’Aoste et Viêt Nam).

Le Réseau des jeunes parlementaires a commencé ses travaux par l’audition de deux experts de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Il a tout d’abord entendu une présentation de Mme Fatima Aouidat, Spécialiste de programme au sein de l’Unité jeunesse, sport et citoyenneté de l’OIF, sur la grande consultation de la jeunesse francophone, menée par l’OIF au cours de l’année 2020, ainsi que sur ses résultats principaux. Le Réseau a ensuite entendu une présentation de M. Eric-Normand Thibeault, Chef d’unité a.i. et chargé de mission au sein de l’Unité jeunesse, sport et citoyenneté de l’OIF, sur les faits saillants de l’enquête menée par l’OIF en 2020 sur les politiques publiques en faveur de la jeunesse dans l’espace francophone.

Au cours de ses travaux, le Réseau des jeunes parlementaires a ensuite procédé à l’examen de ses rapports en cours. À cet égard, il a entendu une présentation de la députée Margaux De Ré (Belgique/Communauté française/Wallonie-Bruxelles) portant sur l’innovation démocratique au 21e siècle, d’une part, et une présentation de la députée Kristina Michaud (Canada) portant sur la participation des jeunes à la vie politique, d’autre part. De plus, les membres du Réseau ont, à l’unanimité, adopté le rapport final ainsi que le projet de résolution du député Mathias Reynard (Suisse) portant sur l’éducation en situations de crise, rédigés conjointement entre le Réseau des jeunes parlementaires et la Commission de l’éducation, de la communication et des affaires culturelles de l’APF.

Les membres du Réseau ont en outre adopté la question que la Présidente du Réseau, Mme Amanda Simard , soumettra, au nom du Réseau des jeunes parlementaires, à la Secrétaire générale de la Francophonie, S.E. Mme Louise Mushikiwabo, lors de la 46e Assemblée plénière de l’APF qui se tiendra les 28 et 29 janvier 2021 par visioconférence. Par ailleurs, les membres du Réseau ont aussi validé la proposition de la Présidente du Réseau visant à élaborer un guide de bonnes pratiques destiné aux (futurs) jeunes élus.

Enfin, le Réseau a pris acte non seulement de la création d’un Parlement francophone des jeunes du G5 Sahel mis en place par l’APF, mais aussi de la mise en ligne d’un site Internet belge concernant des commissions délibératives citoyennes instaurées par le Parlement bruxellois, de la volonté de la section gabonaise d’effectuer un suivi du rapport de la section suisse sur l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’éducation au sein des pays francophones, ou encore de la suggestion de la section mauricienne de créer une plateforme visant à recenser les actions de coopération au sein de l’espace francophone.

La prochaine réunion du Réseau des jeunes parlementaires devrait se tenir à la fin du mois de juin 2021 à Papeete, en Polynésie française, en même temps que les réunions de la Commission politique et du Réseau des femmes parlementaires de l’APF. Cette réunion aurait initialement dû se tenir à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, mais en raison de la situation sanitaire et de règles strictes d’entrée sur le territoire, le lieu d’organisation de cette réunion a dû être déplacé.

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